S'il s'agit de te battre pour te punir d'une
faute ou d'une
erreur que tu aurais commise, et dépendant de la gravité de la
faute nécessitant une
punition,
Je déciderais de la sévérité du
châtiment que Je t'imposerais. Il M'arrivera parfois de
t'ordonner de suggérer toi-même le
châtiment que tu mérites, mais en aucun cas, Je ne suis
tenu à m'y conformer, la décision de l'application de la
sentence revenant à Moi seul ainsi que ton positionnement.
La maltraitance
d'une esclave pour une
punition méritée est généralement (mais pas toujours)
appliquée sur les
fesses de
l'esclave, ce qui permet de les zébrer et de les
marquer afin qu'en circulant
fesses à découvert ses consœurs
esclaves et éventuellement des tiers puissent se
rendre compte que l'esclave a été sévèrement punie et qu'elle est donc
une esclave qui a fautée et donc
déplu à son Maitre.
Toute une panoplie
d'instruments est à la disposition d'un Maitre qui va du
fouet, à la cravache, au martinet, à Sa ceinture en cuir, à une
latte et même pourquoi pas à un annuaire téléphonique réputé
pour ne pas laisser de traces quand on l'abat violemment sur des
fesses. Le
choix de l'engin qui va punir l'esclave
déméritante est laissé, bien entendu, à l'appréciation de son
Maitre.
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Dès que tu entrevois Mon intention, et si par hasard tu es vêtue à
ce moment là, ta réaction immédiate et instantanée sera de
relever très haut ta jupe sur tes
fesses afin de les
dévoiler dans leur plénitude. tu les dégageras de tout
revêtement éventuel string ou slip, tout en
cambrant profondément les reins de manière que tes
fesses soient le
plus éloignées du bas de ton dos et en Me suivant du regard.
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Dès que tu entrevois Mon intention, et si
comme il est fréquent et d'usage tu es déjà dénudée, tu
cambres
les reins pour bien exposer et faire ressortir la rotondité de tes
fesses
que tu resserres pour en faire surgir la musculature, positionnes
tes mains bien écartées sur ta tête ou derrière la nuque, et
conserve une immobilité parfaite, les yeux seuls autorisés à Me
suivre du regard. |
S'il
Me plait de faire attendre Ma décision de te battre, tu
conserveras ta position, immobile, t'évertuant mentalement, et
sans aucun attouchement corporel, à faire ériger tes tétins et à
humidifier ton vagin dans l'espoir généralement inutile de
détourner Mes intentions vers un usage sexuel. Durant cette
attente, il t'est conseillé de trembler afin de faire vibrer tes
mamelles et les
muscles de ta charpente. |
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Debout, en posture de bipède, il se pourrait que Je
t'ordonne de positionner tes mains sur tes
fesses.
Dans ce cas, tu prends appui sur la pointe de tes orteils,
ramène tes mains doucement vers tes
fesses
que tu soulèves des doigts pour mieux faire arrondir
et mieux faire ressortir et rebondir les deux hémisphères.
C'est
des
fesses
serrées au maximum, dures et fermes comprimés par
tes mains et contractés qu'il peut M'arriver
de palper, pincer ou
fesser afin de
déterminer l'endroit sur lequel J'envisage d'abattre
Ma cravache. La crispation de tes
fesses
doivent M'empêcher de forcer de Mon doigt ton anneau
anal sans te blesser. |
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Debout,
il M'arrivera aussi de te faire plier en deux, soit
jambes jointes soit jambes largement écartées afin
d'élargir la surface de réception et être en mesure
de surveiller l'humidification progressive de ton
vagin au fur et à mesure que Ma cane zèbre tes
fesses et
que Mon doigt recueille ta cyprine suintante que Je
te fais gouter de mon doigt. |
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Debout,
pliée en deux jambes écartées, tes
fesses
sont amollies et Me donnent un accès facile à tes
orifices inférieurs pour vérifier qu'aucun poil
n'aurait été oublié aux alentours du vagin et de
l'anus comme l'étiquette de l'esclave le
prévoit et l'exige, ce qui pourrait accentuer la
puissance de la raclée que Je te destine et qui
pourrait être appliquée en public |
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Comme le
choix de la posture qu'il te faudra adopter est
uniquement du ressort de ton
Maitre,
tu seras attentive à l'ordre qui t'imposera la
posture à observer:
all four,
bend,
cow, ou couchée en
legs up ou couchée en travers de Mes genoux, ou
encore dans n'importe quelle autre posture mettant
ton postérieur à la portée de
Mes mains, Ma cravache, Mon martinet, Ma cane, Mon
fouet, ou tout autre objet qu'il Me plaira
d'utiliser à cet effet, y compris, pourquoi pas, Ma
chaussure ou une brosse au poils rigides qui
égratignera tes
fesses.
Il
M'arrivera évidemment de t'attacher lors de
l'application de Ma sentence, ce qui Me permettra de
te laisser exposée aux regards à la fin de
l'application de ta peine,
fesses
martyrisées, rosies sinon rougies, ajoutant une
touche distinctive à ton humiliation publique, humiliation qui va inonder ta vulve de cyprine tant tu te trouves
attachée, incapable d'un mouvement, dans une
situation qui te met à disposition de quiconque, ce
qui va contribuer au sentiment que toute
esclave affectionne le plus, être humiliée.
C'est la
récompense du Maitre à l'esclave qu'il affectionne, punit et
dresse
sévèrement. |
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A la
fin de l'application de sa punition, une
esclave que son Maitre aurait
condamné au silence et à l'immobilisme lors de
l'application de sa peine, peut être autorisée à
exprimer sa douleur à haute voix, gigoter si elle le
peut, se trémousser, remuer, se frotter les les
fesses
et gémir. Par contre toute plainte à son
Maitre, ou même
clamer son innocence serait tout à fait interdite.
Une
fois la punition achevée, certains
Maitres
superposent à la condamnation la sodomisation de
leur
esclave, se plaisant à forcer son
sphincter de leur phallus et battre à répétition ses
fesses
de leur corps en s'enfonçant à chaque re-rentrée au
plus profond de l'anus, jouissant de la douleur que
cela occasionne à l'esclave aux
fesses
meurtries, quand ils n'ajoutent pas des coups
supplémentaires de crache sur les fesses endolories.
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